Après notre séjour plongée/thé/café/petites maisons et jolies couleurs, nous arrivons à Izmir.
On ne nous avait pas prévenus que le quartier dans lequel on habite est construit à flancs de « collines », et qu’il faudrait constamment grimper des rues.
De manière générale, Izmir ne nous a pas enthousiasmés plus que ça.
La vieille ville ayant été ravagée par un gros incendie lors de l’indépendance de la Grèce il y a cent ans ; on n’y trouve pas le patrimoine qu’il y a à Istanbul.
Mais la population y est bien différente aussi. Bien plus ouverte, au climat plus sympa, plus méditerranéenne, on est surpris de voir qu’on vit plus dehors ici qu’à Istanbul.
Cette ville est plus « ouverte » que les villes que nous avons visitées précédemment. Les mosquées sont moins nombreuses, les filles moins voilées et plus découvertes, et on peut fumer un nargile accompagné d’une bière…
Le front de mer borde toute la ville et les pêcheurs amateurs y sont nombreux.
On s’arrête au marché de notre quartier, où les légumes et les fromages s’empilent, les olives se s’amoncellent et nous, au milieu, à hésiter entre ces tomates là ou ces artichauts ci !
En fait, on va surtout passer deux heures à « croquer » cette vie de quartier assis à une petite table ottomane sur de petits tabourets ottomans, entre une petite marchande de beurre/œuf/fromage, d’un stand de choux et d’un autre de crêpes au fromage…Et cela fera partie de nos meilleurs moments du séjour. D’autant plus que notre oisiveté et plus particulièrement les croquis de Marion attirent les regards et la sympathie des marchands ; et poussent les gens à venir papoter avec nous… dans la limite de nos rudiments de turc et du langage des signes.
À Izmir plus qu’ailleurs, les Turcs restent très fiers de leurs pays, et en particulier d’Atatürk.
On trouve son portrait partout : des guitounes à kebab jusqu’aux fenêtres des maisons… drapeaux, posters, son visage taillé dans la roche ou petites céramiques à son effigie… même des stickers de sa signature ! On ne rigole pas avec le fondateur de la république.
On les voit quand les croquis de Marion? Une petite photo pour nous appâter …..!
izmir, la lessive, bien !
celui-là je l’ai capté, bravo !
dis-donc, vous êtes en pleine forme
encore, encore, encore, encore
et pour éphèse, je suis inquiet quand même…
élavouzètou
Chuuuuut!
Ça sera la surprise!
l’avant derniere photo est magnifique
hey ! T’es qui le meilleur pote de Brice ? Arrête de te cacher dernière un pseudo, et vas-y voir, t’es qui toi ?
J’adore la mode turque, les robes sont canons!! Bref, commentaire de fille!! Des bises lorraines (à la mirabelle). Et joyeux muguet!
Comme Magoldo, j’aimerai bien voir les croquis de Marion moi aussi!
C’est pas juste, les Turques ont le droit de les voir et pas nous!
Ah les paysages s’aplatissent, le décor change, ce sont les premiers palmiers que l’on voit, les vêtements aussi ne sont plus les mêmes, il va commencer à faire beaucoup plus chaud bientôt, il faudra mettre des petits chapeaux sur vos petites bouilles de petites étoiles de mer et de petit hippocampe.
Gros bisous les petits lapins.
Elo
Je veux bien voir les croquis de M. moi aussi !
EFES !! C’est la bière que je buvais à Berlin qu Kebab. J’en ai même trouvé içi à Brazza une fois. A votre soif !
Kazou, tu trouves aussi de la Efes à Panam dans les resto turcs (au Kibelé rue de l’échiquier dans le Xiè)
Les croquis, les croquis, les croquis. Vous nous mettez déjà l’eau à la bouche avec vos critiques culinaires (et on peut pas gouter à distance) alors faites péter les dessins de Marion
Je suis complètement d’accord, Les Dessins! Les Dessins! on veut voir les Dessins, on veut voir les dessins:))))))
bonne nouvelle ! votre logeuse de Sofia m’a renvoyée la chaussette de Brice oubliée dans la machine à laver,…propre,
(mais pas le sweet…)
j’en fais quoi ?
vouzétoulà
moi je veux pas dire mais …. j’aimerai bien aussi les voir ces croquis ! à moins que tu n’es pas pris de carnet …. mouaahahaaaaaa
bisous
Celui que tu m’as offert est fini!
Une bonne Efes quand efeso’